Fondé par le Président Raymond Rodel, entouré d’un collège d’académiciens et de personnalités du monde de la politique, des arts et des lettres, le Comité de France, placé sous le patronage du Président de la République Vincent Auriol, a toujours eu pour vocation de reconnaître ceux qui contribuent au prestige de la France et à son rayonnement économique, industriel ou culturel.
Par-delà nos frontières, le Comité est habilité à intervenir dans le cadre de la construction européenne, en couronnant les sociétés ou organismes présents dans les pays de l’Union et en distinguant également, à l’international, ceux qui participent à la protection du patrimoine, à la défense de l’environnement et au développement de leur pays, par l’excellence de leurs réalisations. Il souligne également des liens d’amitié, souvent historiques, entre les nations, notamment francophones.
Il œuvre enfin dans les domaines du tourisme et de la gastronomie avec la remise de distinctions d’audience internationale.
Sous l’impulsion de ses Présidents successifs, le Comité de France, qui compte parmi ses membres d’honneur plus de 40 ministres et parlementaires de la Vème République, poursuit ses activités, en accordant désormais une attention particulière aux PME et ETI qui forment un maillage particulier au cœur des territoires. Il convient, également, de souligner, tout au long des années, le soutien du Général de Gaulle apporté à l’action du Comité par la présence de nombre de ses ministres ou parlementaires patronnant les remises, devenant membres d’honneur ou remettant les différents Prix décernés.
René Cassin, qui repose au Panthéon et fut Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, Fondateur français de l’Unesco et Prix Nobel de la Paix, a pour sa part, défini le Comité comme ayant « une activité qui n’a pas d’équivalent et sert bien notre pays ».
Reposant également au Panthéon, André Malraux, alors ministre du Général de Gaulle, précisait pour sa part « ce Comité décerne de prestigieuses distinctions, symboles de l’excellence chère à notre République »…
Les Présidents Edgar Faure, Jacques Chaban-Delmas, Jacques Chirac, Madame Bernadette Chirac, les Premiers ministres Pierre Bérégovoy, Alain Juppé, Jean Castex, le Président du Sénat Christian Poncelet, S.A.R. le Comte de Paris, le Chancelier de l’Institut de France Edouard Bonnefous, mais aussi de très nombreux ministres, ambassadeurs, académiciens, personnalités de la société civile et des média ont, d’hier à aujourd’hui, souhaité soutenir l’action du Comité, en présidant des remises ou en devenant membre d’honneur, démontrant ainsi leur attachement à une organisation fondée il y a plus d’un demi-siècle, qui a su rester indépendante des pouvoirs publics, mais dont la vocation reste plus que jamais d’actualité…
Dans cet esprit le Comité décerne, selon les cas, quatre distinctions différentes :
La célèbre Coupe d’Or du Bon Goût Français qui symbolise le prestige à la française.
Le Trophée des Renommées d’Or – échelon national ou international – avec le domaine d’activité couronné (ex : Trophée des Renommées d’Or du Prestige de la France ou Trophée des Renommées d’Or du Tourisme International, Trophée des Renommées d’Or du Développement Durable, etc.)
La Médaille d’Honneur du Comité de France – échelon or, argent ou bronze – avec le domaine d’activité couronné (ex : Médaille d’Or au titre de la Protection du Patrimoine, Médaille d’Argent au titre de l’encouragement des Métiers d’Art, etc.)
La Palme d’Or du Comité de France – Elle est décernée aux produits et aux organismes d’excellence et se décline, notamment, dans les domaines économiques, scientifiques ou environnementaux.
Celles-ci sont accompagnées par la remise d’un Diplôme de Mérite et de Prestige National ou d’un Diplôme de Mérite et de Prestige Européen.
Devenir lauréat du Comité de France, c’est entrer dans le cercle exclusif des plus grands noms, bénéficier d’une vraie reconnaissance et avoir ainsi la possibilité de communiquer auprès de ses partenaires et des medias dans un environnement prestigieux…
Les prix sont décernés, le plus souvent, au cours d’une cérémonie de remise placée sous la présidence d’une personnalité du monde politique, économique ou culturel, en partenariat avec le Journal du Parlement, qui en rend compte dans sa rubrique « au carnet du protocole ».
Présidence de la République, Hôtel de Matignon, Ministères, Assemblée Nationale, Sénat, Académie française, Académie des Beaux-Arts, Académie des Sciences, Bibliothèque Nationale de France (BNF), Hôtel de Ville de Paris, Bourse de Commerce de Paris, Ambassades, Musées (Carrousel du Louvre, Musée de la Chasse et de la Nature, etc.), Théâtres (Odéon, Nouveautés, etc.), mais aussi Hôtel de Crillon, Hôtel Ritz, Hôtel Meurice, Pavillon d’Armenonville, Automobile Club de France, le Fouquet’s, le restaurant Ledoyen, etc. et d’une manière générale les lieux les plus emblématiques, tous ont ainsi accueilli des réceptions pour un trophée ou un diplôme du Comité.
Le lauréat reçoit, également, le titre de Membre correspondant du Comité de France dans son secteur d’activité et dispose d’un logo de libre utilisation pour sa communication.
Notons aussi que le Comité de France est la seule organisation de sa catégorie à avoir été accréditée pour siéger au sein du Comité de l’Europe pour les Etudes et Informations Parlementaires, avec lequel elle travaille en étroite coopération, prenant en charge, notamment, les domaines liés à l’environnement, au tourisme et à la gastronomie.
Mais au-delà, il convient enfin de rappeler l’attention portée par le Comité aux grandes causes, tant en France qu’à l’international.
Comme le rappelait la Ministre déléguée auprès du Ministre des Affaires Étrangères en charge de l’Action humanitaire et des Droits de l’Homme, dès 1994 : « Puisse le Comité de France continuer à illustrer sur tous les continents ce prestige, qui est devenu son symbole et entamer ainsi en cette veille de troisième millénaire, un nouveau et remarquable chapitre de son grand livre d’or ! »
À ces propos de reconnaissance, s’ajoutent les témoignages de personnalités les plus diverses qui du Président Valéry Giscard d’Estaing à André Malraux ou au Prix Nobel René Cassin, en passant par nombre de ministres et jusqu’au Pape Pie XII, ont tous, à un moment ou à un autre, voulu soutenir et encourager l’action du Comité. (voir l’onglet membres puis témoignages)
Double page de publicité parue dans le Figaro Magazine en 2013
« Une bonne renommée est comme un second patrimoine » …
Publilius Syrus